Mesures restrictives – C’est la majorité qui donne la tendance
Lorsqu’on parle de mesures restrictives ou toute atteinte aux libertés individuelles ou collectives, tout ceci a lieu aussi parce que la proportion de ceux qui y adhèrent côté populations est assez grande pour le permettre
- Point de vue
Dans un contexte où juste 30 ou 40% s’opposent à une mesure, aucune contrainte n’y pourra rien.
Exemple dans une école : si 40 ou 50% des parents décident que leurs enfants viendront non masqués, on fait quoi, on ferme l’école ? Non.
Par contre s’il s’agit de deux ou trois parents, leur impact est si faible que rien ne change.
Il faut une masse assez critique pour inverser une situation.
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Lorsqu’on se retrouve avec des prof de philo, matière d’analyse et réflexion en principe, qui réagissent ainsi, lorsqu’on extrapole ce genre de réactions à la totalité de la population, normal que le contexte perdure.
En vérité, peu, très peu sont prêts à faire bouger leur petit confort. Car celui-ci est devenu leur univers, leur sécurité. Alors le monde entier peut bien s’écrouler, tant que leur quotidien garde une illusion de sécurité ça va. De temps en temps, on fera un don associatif, on versera une larme devant la misère dont on est préservé, de quoi se donner bonne conscience et continuer son train-train quotidien. Et si jamais on est interpellé sur sa collaboration passive ou active, on aura toujours l’occasion de sortir un : « Qu’y puis-je ! »
Il n’y a pas pire esclavage consentant que celui-là.©Dzaleu.com