Etats-Unis : Au Nebraska, pas de sanctions pour les médecins prescrivant de l’HCQ et de l’Ivermectine
L’hydroxychloroquine est utilisé depuis des décennies en Afrique notamment dans la lutte contre le paludisme. En 2020 en France, le Dr Eric Raoult de l’IHU de Marseille, a remis ce médicament à la une en affirmant qu’il était efficace pour traiter le coronavirus. Raillé par les autorités médicales et les médias, harcelé, le médecin marseillais n’a pas dévié de sa ligne : l’HCQ est efficace.
Autre médicament dont plusieurs études indépendantes prouvent l’efficacité mais qui reste interdit par de nombreux gouvernements, l’ivermectine. Découvert par le Japonais Satoshi Ōmura, l’ivermectine montre des résultats spectaculaires dans les pays qui l’utilisent, comme l’Utta Pradesh en Inde.
Au Nebraska, le procureur général a émis un avis selon lequel les médecins prescrivant de l’HCQ et de l’Ivermectine pour le traitement du Covid-19 ne seront pas sanctionnés.
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Le bureau de Doug Peterson, procureur général du Nebraska, a émis cet avis vendredi 15 octobre
Selon cet article du Thegateawaypundit, c’était en réponse à la demande du ministère de la Santé et des Services sociaux du Nebraska.
Selon cet avis, il n’y a pas « de preuve claire et convaincante qu’un médecin qui obtient d’abord le consentement éclairé, puis utilise l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine pour le traitement du COVID-19, viole l’UCA (Uniform Credential Act) du Nebraska. »
Dannette Smith, responsable du département de la Santé et des Services sociaux du Nebraska, souhaitait que le bureau du procureur général examine la possibilité ou non de poursuivre judiciairement les médecins ou les soumettre à des mesures disciplinaires s’ils prescrivaient des médicaments.
Pour Doug Peterson, « [autoriser] les médecins à envisager des traitements précoces leur permettra d’évaluer d’autres outils qui pourraient sauver des vies, éviter aux patients d’être hospitalisés et soulager [le] système de soins de santé déjà mis à rude épreuve. »
Le Bureau de l’Attornay general accompagne la missive de références de nombreux articles de revues médicales, des recherches et des études de cas. Exemple avec l’étude du Lancet qui a été retirée par la suite en raison de ses statistiques erronées concernant l’utilisation de l’HCQ.
L’ivermectine, un médicament mal aimé par les responsables de la santé?
« Après avoir reçu votre question et mené notre enquête, nous avons trouvé une controverse importante et des informations suspectes sur les traitements potentiels du COVID-19. Un exemple frappant est celui de l’une des revues médicales les plus prestigieuses au monde, le Lancet. En pleine pandémie de COVID-19, le Lancet a publié un article dénonçant l’hydroxychloroquine comme dangereuse », peut-on lire.
« Pourtant, les statistiques rapportées étaient si erronées que des journalistes et des chercheurs extérieurs ont immédiatement commencé à s’inquiéter. Puis, après le refus de l’un des auteurs de fournir les données analysées, l’article a été retiré, mais pas avant que de nombreux pays cessent d’utiliser l’hydroxychloroquine et que des essais soient annulés ou interrompus. Le propre rédacteur en chef du Lancet a admis que l’article était une ‘fabrication’, ‘une fraude monumentale’ et ‘un exemple choquant d’inconduite en matière de recherche au milieu d’une urgence sanitaire mondiale' », continue l’AG.
« Nous estimons que les données disponibles ne justifient pas le dépôt de mesures disciplinaires contre des médecins simplement parce qu’ils prescrivent de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine pour prévenir ou traiter le COVID-19 », continue l’avis du procureur général. (article complet en anglais)
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