DES COUPURES À VENIR CET HIVER CÔTÉ ÉNERGIE EN FRANCE?
Question de départ partant d’un constat : les centrales nucléaires marchent à l’uranium. Comment la France se retrouve exportatrice d’uranium alors qu’elle n’en a pas dans son sous-sol ?
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Depuis quelques semaines, officiels et experts de plateaux télé se relaient autour d’une rhétorique tendant à justifier le bien-fondé des futures restrictions énergétiques. Pourtant, la cause principale (raréfaction des sources d’approvisionnement voure fermeture des portes) n’est jamais évoquée, encore moins OÙ et COMMENT un pays comme la France obtient ce qui lui permet de faire tourner ses centrales nucléaires. La réponse est pourtant simple : AFRIQUE, et dans des conditions où celle-ci ne retire rien (du moins, ses populations) de ses ressources.
Et pour les délestages,
Le vrai nom des coupures), en Afrique noire « grâce » à la France, États-Unis et autres pays de la « communauté internationale » qui a travers FM, Banque mondiale et autres organisations a leurs ordres, ont imposés des plan d’ajustement, des privatisations, etc., c’est le quotidien des populations des villes africaines, des coupures siucebt intempestives. Si cela doit arriver en France, on peut déjà dire aux futurs concernés que de multiples peuples le vivent déjà du fait des politiques occidentales, on n’en meurt pas (humour noir )
En photo, une mine d’uranium Areva à Arlit, Niger.
Ici, une vidéo plus qu’intéressante sur le drame des populations locales.
Point besoin de chercher loin pour comprendre le soutien de toute l’opinion africaine surtout francophone à la Russie et au Mali. Sa jeunesse n’entend plus servir de paillasson sur lequel France et autres conservent leur niveau de vie. De ce fait, le cas malien, un cas école pour se débarrasser de l’impérialisme, est structé avec une extrême attention. ©Dzaleu.com
