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L’AP fact-checke la vidéo de Melissa Strickler, la réponse de Project Veritas

L’AP fact-checke la vidéo de Melissa Strickler, la réponse de Project Veritas

Project Veritas est un groupe fondé en 2010 par James O’Keefe, journaliste indépendant. Il entend dénoncer la corruption et les conflits d’intérêts dans la presse. La particularité de Project Veritas est de procéder par caméra cachée. Mais aussi de faire appel à des « whistleblowers » (lanceurs d’alerte en interne), pour exposer les pratiques cachées de certains groupes, sociétés ou politiques.

Début octobre, Project Veritas a initié la publication d’une série de vidéos en rapport avec le Covid-19. Celle du 7 octobre 2021 présente les extraits d’un entretien entre Project Veritas et Melissa Strickler, auditrice qualité chez Pfizer. Celle-ci a divulgué des courriels internes qui montrent que les dirigeants de l’entreprise ont demandé à leur personnel de garder le secret sur l’utilisation de tissus fœtaux humains dans les tests du vaccin COVID.

Il s’agit de Vanessa Gelman, directrice principale de la recherche mondiale, et de Philip Dormitzer, directeur scientifique de Pfizer. Ce dernier reconnaît dans l’un des emails que des cellules issues d’un fœtus humain avorté sont bel et bien utilisées dans les tests de vaccin COVID.

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Des vidéos totalisant des millions de vue grâce aux partages des internautes

Du côté des médias grand public, à l’exception d’une extrême minorité estampillée pro-Trump comme Tucker Carlson (Fox News), les vidéos de Project Veritas ne bénéficient d’aucune couverture médiatique à l’exception des réseaux sociaux et médias alternatifs.

Malgré la gravité des propos reportés, et qui tous jettent le doute sur le vaccin Covid-19 ou la gestion de la pandémie, aucun média grand public n’a couvert ces vidéos. Et lorsque cela arrive comme avec l’Associated Press (AP), c’est pour fact-cheker une des vidéos, celle de Melissa Strickler sur la présence de tissus de foetus humains dans les tests sur le vaccin.

Pourquoi cette vidéo en particulier? Difficile de savoir. Pour résumer, l’AP conclue en la fausseté des affirmations de Melissa Strickler. A noter qu’après cette vidéo, Vanessa Gelman, une des personnes incriminées et directrice scientifique chez Pfizer, a préféré prendre la fuite face à un journaliste de Project Veritas.

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Toutes les vidéos de Project Veritas

Face au fact-checking de l’AP, James O’Keefe, fondateur de Project Veritas, a fait un droit de réponse. Dans l’explication qu’il donne à ses lecteurs à la suite de cet article, il relate un fait qui lui a été remonté. Sur Instagram, un internaute a demandé à sa chaine de télévision locale pourquoi elle ne couvrait pas les vidéos de Project Veritas.

L’internaute s’est vu renvoyé vers l’article de l’AP pour justifier que ces vidéos n’étaient pas crédibles. Pas question de laisser mettre en doute leur travail d’investigation pour James O’Keefe. Il estime en effet que le but de l’AP était d’offrir un article de justification à tous les autres journalistes.

« Ils ont créé un argument ‘homme de paille’ qui a permis à d’autres médias de s’empiler sur leur article trompeur et d’attaquer Project Veritas », pour James O’Keefe.

Le fondateur de Veritas écrit aussi que le journaliste de l’AP n’a pas daigné le contacter. Face à ce qu’il considère comme de la propagande, l’association a commis ses avocats afin qu’un courrier formel soit envoyé à l’auteur de l’article de l’AP.

Project Veritas compte, comme à l’accoutumée, saisir la justice si nécessaire pour diffamation, comme ce fut déjà le cas avec CNN ou le New York Post. Des procès que l’association a toujours gagné.©Dzaleu.com

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L’AP fact checke Project Veritas, les explications de James O’Keefe
sur un article qu’il juge non conforme aux règles journalistique

Les médias grand public ont fait de leur mieux pour ignorer la série CovidVaxExposed de Project Veritas au cours du mois dernier.

Cependant, dans les rares occasions où ils ont couvert ces histoires, ils l’ont fait pour tromper le public.

L’Associated Press [AP] en est un bon exemple – ils ont minimisé l’histoire de Melissa Strickler, une initiée de Pfizer, qui a révélé des courriels internes entre des cadres de Pfizer qui disaient : « Nous nous sommes efforcés de ne pas révéler qu’une ou plusieurs lignées cellulaires dont l’origine peut être retracée jusqu’au tissu fœtal humain ont été utilisées dans des tests de laboratoire associés au programme de vaccination…« 

L’AP l’a fait en utilisant un argument d' »homme de paille » pour prétendre qu’il était FAUX que des cellules foetales se trouvent dans le vaccin COVID de Pfizer.

Vous pouvez voir ma réponse au « journalisme » de l’AP ici :

Voici ce que l’AP a publié à la suite de la vidéo de Veritas sur les dénonciateurs de Pfizer :

Permettez-moi de résumer à quel point tout cela est ridicule.

Dans le même article, l’AP affirme qu’il y a une « allégation » selon laquelle le vaccin COVID de Pfizer contiendrait des cellules fœtales, en se basant sur des courriels divulgués à Project Veritas, mais dit ensuite que les « faits » montrent que la vidéo de Veritas ne couvrait que « la lignée de cellules fœtales lors du test d’efficacité » du vaccin COVID de Pfizer.

Ils vérifient les faits d’une NON-ISSUE. Ou pire, ils vérifient des faits dans des commentaires aléatoires dans les médias sociaux et essaient de dire que Project Veritas est à blâmer pour les interprétations que les gens font de nos reportages. Vraiment… nos soi-disant médias d’information sont cassés au-delà de toute réparation.

L’auteur de l’article, Angelo Fichera, a reçu la lettre suivante des avocats de Veritas à la suite de cette absurdité :

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N’est-il pas amusant de voir comment ces journalistes ont une si haute opinion d’eux-mêmes, mais sont incapables d’accomplir l’obligation la plus élémentaire du journalisme ? Comment peuvent-ils s’en tirer sans m’avoir contacté, moi ou Project Veritas, pour faire des commentaires avant de publier cette histoire ?

La seule explication plausible à laquelle je peux penser est qu’ils avaient déjà un récit préétabli. Et ils craignaient qu’un commentaire de notre part soit préjudiciable à leur récit.

Vous vous demandez peut-être aussi en quoi cela est important ?

Voici ma réponse :

Sur Instagram, un individu a envoyé un message à Fox 10 Phoenix. Il demande pourquoi l’histoire des dénonciateurs de Pfizer n’était pas couverte sur sa chaîne.

Fox 10 Phoenix a répondu avec un lien vers cette « vérification des faits. ». Elle a dit à la personne qu’elle était « trompée par Internet ».

C’ÉTAIT LE BUT D’AP.

Ils ont créé un argument « homme de paille. » Celui-ci a permis à d’autres médias de s’empiler sur leur article trompeur et d’attaquer Project Veritas.

Voici le seul problème auquel ils n’étaient pas prêts : Project Veritas se défend.

Nous ne laisserons pas ces mensonges à notre sujet se normaliser. Nous ne permettrons JAMAIS à la propagande de vaincre la vérité.

Restez à l’écoute car notre bataille contre ce genre d’attaques de l’establishment ne fait que commencer…

Veritas,

James